On aime bien Donald Pleasence, toujours bon même quand le film dans lequel il joue ne l'est pas. S'il a souvent cachetonné, cela ne se voit jamais à l'écran car il est capable de débiter n'importe quelle réplique avec un sérieux qui laisse admiratif.
Il suffit de voir La nuit de la panthère noire pour mesurer son professionnalisme. Réalisée (?) par l'obscur Lee Madden (Les démons de la violence), cette bande (pas très) horrifique se décline sous plusieurs titres (Les yeux de la jungle...) au gré de son exploitation en VHS ou télévisuelle. Si la seconde partie relève un peu le niveau, l'ensemble frise le nanar avec ses ralentis foireux, son tournage en Thaïlande, ses dialogues creux et son absence de rythme et de tension. A aucun moment, Madden parvient vraiment à susciter l'effroi ou à conférer à cette panthère qui rôde le caractère menaçant qui devrait être le sien. Contrairement à Donald, alors déjà coutumier de la série Z, on se demande ce que Nancy Kwan est venu faire là... (vu le 27.02.19)
Il suffit de voir La nuit de la panthère noire pour mesurer son professionnalisme. Réalisée (?) par l'obscur Lee Madden (Les démons de la violence), cette bande (pas très) horrifique se décline sous plusieurs titres (Les yeux de la jungle...) au gré de son exploitation en VHS ou télévisuelle. Si la seconde partie relève un peu le niveau, l'ensemble frise le nanar avec ses ralentis foireux, son tournage en Thaïlande, ses dialogues creux et son absence de rythme et de tension. A aucun moment, Madden parvient vraiment à susciter l'effroi ou à conférer à cette panthère qui rôde le caractère menaçant qui devrait être le sien. Contrairement à Donald, alors déjà coutumier de la série Z, on se demande ce que Nancy Kwan est venu faire là... (vu le 27.02.19)
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