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Jacques Besnard | Le grand restaurant (1966)



















Le grand restaurant est un projet de film que Louis de Funès nourrit depuis la fin des années 50 mais il doit attendre le milieu de la décennie suivante, une fois devenu un poids lourd du cinéma français grâce au succès rencontré par Le corniaud et les premiers épisodes des séries des gendarmes et Fantomas, pour  enfin le concrétiser.

Edwin L. Marin | A Christmas Carol (1938)
























Les Américains se sont fait une spécialité des films de Noël qui, entre la dinde et les marrons, accompagnent leurs fêtes de fin d'année. Le classique des classiques de ce genre de productions reste bien entendu l'adaptation du Chant de Noël de Charles Dickens dont on ne compte plus les transpositions cinématographiques mais aussi théâtrales aussi bien que télévisuelles.

Pierre Gaspard-Huit | A belles dents (1966)
























Sorti en 1966, année où Mireille Darc envahit les écrans, enchaînant alors pas moins de quatre films dont Ne nous fâchons pas ou Du rififi à Paname, A belles dents proposait un programme appétissant.

Michele Massimo Tarantini | La prof du bahut (1976)
























Bien qu'il ne soit ni animé par Edwige Fenech ni Gloria Guida, les deux plus existantes poupées de la sexy comédie italienne, La prof du bahut demeure un des meilleurs (?) rejeton de ce sous-genre débile mais jubilatoire pour qui sait ce que le dixième (au minimum) degré veut dire.

Georg Tressler | 2069 : A Sex Odyssey (1974)
























Ceux qui, en visionnant 2069 : A Sex Odyssey, espéraient peut-être tomber sur un space opera sexy en seront pour leur frais. Des nichons, il y en a mais point de vaisseaux spatiaux ni de pistolets laser à l'horizon.

John Herzfeld | 2 jours à Los Angeles (1996)
























Malgré son casting intéressant (nous y reviendrons), 2 jours à Los Angeles appartient à ces films qui, bien que sympathiques et jamais ennuyeux, ne laissent pourtant pas d'impérissables souvenirs dans la mémoire.

Gilles Grangier | Archimède le clochard (1959)
























Jean Gabin et Gilles Grangier ont bossé douze fois ensemble, entre 1953 (La vierge du Rhin) et Sous le signe du taureau (1969). Tourné en 1959 et succédant au Désordre et la nuit, Archimède le clochard marque leur sixième collaboration.

Alexander Mackendrick | Tueurs de dames (1955)
























Tout a déjà été dit sur Tueurs de dames, classique de la comédie britannique des années 50, à commencer par son extrême modernité et son ton parodique, expliquant sans doute pourquoi un remake en a été tourné cinquante ans plus tard, les frères Coen signant pourtant alors un de leurs plus mauvais films.

Denys de La Patellière - Le bateau d'Emile (1962)
























Le bateau d'Emile est un film assez curieux. Au départ, il y a une nouvelle de Georges Simenon dont la noirceur est diluée dans la comédie, grâce, notamment, aux dialogues de Michel Audiard.

Julien Duvivier | L'homme à l'imperméable (1957)
























Quand il est sorti, L'homme à l'imperméable, adaptation par René Barjavel d'un roman de James Hadley Chase, a été sévèrement critiqué par la clique des Cahiers du cinéma. A tort.

Léo Joannon | L'assassin est dans l'annuaire (1962)
























En visionnant L'assassin est dans l'annuaire, on mesure alors combien est grand le talent d'un Julien Duvivier dont L'homme à l'imperméable est quand même d'un autre niveau que ce film avec lequel il partage nombre de points communs.

Roy Rowland | L'aventure fantastique (1955)
























Il est fréquent de lire que western et comédie ne font généralement pas bon ménage. Les exceptions existent cependant, que l'on songe à La vallée de la poudre de George Marshall (1958), La blonde et le shérif de Raoul Walsh (1958) ou dans le pur burlesque, le Chercheurs d'or des Marx Borthers (1940), auxquels on peut rajouter, certes sur un mode mineur, L'aventure fantastique.

Claude Zidi | La zizanie (1978)
























Après le triomphe populaire de l'aile ou la cuisse, Christian Fechner, Claude Zidi et Louis de Funès remettent le couvert deux ans plus tard avec La zizanie.

Eddie Nicart | 007 1/2 : rien n'est impossible (1982)
























Rien n'est impossible en effet dans le monde du cinéma bis philippin (ou pas), même de prendre pour héros d'un film d'espionnage, un nain !

Claude Zidi | L'aile ou la cuisse (1976)
























Entre un Louis de Funès vieillissant et un Coluche embarrassé, L'aile ou la cuisse n'est pas un grand cru mais demeure une bonne comédie à l'humour efficace et c'est un carton en salle  en cumulant plus de cinq millions d'entrées.

Peter Faiman | Crocodile Dundee (1986)
























Comédie venue des antipodes, Crocodile Dundee fut le succès surprise de l'année 1986. Trente-trois ans plus tard (déjà !), il a vieilli mais son humour demeure efficace et son (petit) charme, intact.

Mario Monicelli | Brancaleone s'en va-t'aux croisades (1970)
























Bien qu'un peu oubliés sinon sous-estimés aujourd'hui, L'armée Brancaleone et sa suite rencontrent pourtant un immense succès populaire en Italie lors de leur sortie respective, en 1966 et 1970.

Henry King | Margie (1946)
























Malgré le succès qui fut le sien lorsqu'il est sorti sur les écrans américains en 1946, Margie fait néanmoins partie de ces innombrables films que j'ai un jour enregistrés (dans le cinéma de minuit au cas particulier) mais que je n'ai jamais eu très envie de visionner.

Peter Hall - L'arnaqueuse (1970)
























Stanley Baker appartient à ces comédiens oubliés que j'adore, autant à l'aise dans l'action que chez Losey, avec sa carcasse robuste et plébéienne qui exsude une virilité brutale et néanmoins douce.