Entre un Louis de Funès vieillissant et un Coluche embarrassé, L'aile ou la cuisse n'est pas un grand cru mais demeure une bonne comédie à l'humour efficace et c'est un carton en salle en cumulant plus de cinq millions d'entrées.
Nombre de scènes restent dans les mémoires : De Funès déguisé qui visite des restaurants pour mieux les piéger, les secrets révélés de l'usine Tricastel à l'esthétique un peu SF, le jeu télévisé animé par Philippe Bouvard dans son propre rôle, De Funès, les yeux bandés, en train de goûter des plats... Sur un mode cocasse, le film aborde le sujet de la malbouffe. Derrière Tricastel, on peut ainsi identifier Jacques Borel, fondateur des restoroutes à la fin des années 60. Le film s'appuie sur une solide distribution avec un Julien Guiomar excessif ou un Raymond Bussières parfait en chauffeur. L'éternelle Claude Gensac est là également ainsi qu'une poignée de jeunes comédiens promis à un avenir fameux (Martin Lamothe, Gérard Lanvin...). Au départ, il y a le producteur Christian Fechner qui souhaite associer de Funès à la nouvelle génération comique, celle de Claude Zidi derrière la caméra (il vient de triompher avec les Charlots) et Pierre Richard devant. Celui-ci sera finalement remplacé par Coluche. On peut penser que L'aile ou la cuisse aurait été plus réussi avec ce dernier car en définitive la rencontre entre le vieil acteur et le clown à lunettes ne fait pas des étincelles et la mayonnaise ne prend jamais vraiment.... (vu le 27.02.19)
Nombre de scènes restent dans les mémoires : De Funès déguisé qui visite des restaurants pour mieux les piéger, les secrets révélés de l'usine Tricastel à l'esthétique un peu SF, le jeu télévisé animé par Philippe Bouvard dans son propre rôle, De Funès, les yeux bandés, en train de goûter des plats... Sur un mode cocasse, le film aborde le sujet de la malbouffe. Derrière Tricastel, on peut ainsi identifier Jacques Borel, fondateur des restoroutes à la fin des années 60. Le film s'appuie sur une solide distribution avec un Julien Guiomar excessif ou un Raymond Bussières parfait en chauffeur. L'éternelle Claude Gensac est là également ainsi qu'une poignée de jeunes comédiens promis à un avenir fameux (Martin Lamothe, Gérard Lanvin...). Au départ, il y a le producteur Christian Fechner qui souhaite associer de Funès à la nouvelle génération comique, celle de Claude Zidi derrière la caméra (il vient de triompher avec les Charlots) et Pierre Richard devant. Celui-ci sera finalement remplacé par Coluche. On peut penser que L'aile ou la cuisse aurait été plus réussi avec ce dernier car en définitive la rencontre entre le vieil acteur et le clown à lunettes ne fait pas des étincelles et la mayonnaise ne prend jamais vraiment.... (vu le 27.02.19)
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