En quelques mots : A l'instar de nombre de ses confrères, Antonio Margheriti a touché un peu à tous les genres suivant la mode du moment : péplum, horreur gothique (La danse macabre, La vierge de Nuremberg), western-soja (La brute, le colt et le karaté), polar, aventures... La comédie polissonne l'a également inspirée comme le démontre ces 1001 nuits qui n'ont d'érotiques que le nom. Plus libertaire que cochon c'est un film soigné, bien réalisé et doté d'un bon scénario (les chutes de chaque sketches sont des plus astucieuses). Et en plus, il nous est donné d'admirer la plastique affolante de Barbara Bouchet et de Femi Benussi ! A noter que le dernier segment fait un clin d'oeil au western spaghetti avec son personnage au look eastwoodien. Enfin, d'après Christophe Lemaire, l'oeuvre est qui plus est très rare. Vous savez ce qu'il vous reste faire...
Chez Francomac
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