Piano Blues représente le dernier segment de la collection The Blues regroupant sept réalisateurs qui, à l’initiative de Martin Scorsese, décrivent différentes facettes du blues. Clint Eastwood et la musique, c’est une longue histoire d’amour, débutée dès sa jeunesse quand l’acteur gagnait de l’argent en jouant du piano dans des clubs et autres bastringues.
La musique, jazz et blues en particulier, occupe une place prépondérante dans son œuvre. Elle est au cœur de certains de ses films, tels que Un frisson dans la nuit, Honkytonk Man, dont on peut voir ici quelques images, et Bird bien sûr. Il compose fréquemment une partie, ou l’intégralité des bandes originales de ses longs métrages, surtout depuis Impitoyable, le plus bel exemple étant sa création dépouillée et mélancolique pour Million Dollar Baby. Enfin, il a produit plusieurs documentaires sur le jazz : The Last Of The Blue Devils de Bruce Ricker (1979, sorti en 1988) et Thelonious Monk : Straight No Chaser de Charlotte Zwerin (1989). La présence de Clint Eastwood au sein de cette collection n’est donc pas fortuite. Ce vingt-cinquième film du cinéaste aborde donc le rôle du piano dans le blues, instrument qui lui est donc très cher (d’ailleurs un des ses rêves n’aurait-il pas été d’en jouer comme Art Tatum ?). Piano Blues prend la forme d’une enquête menée par Clint qui croise la route de pianistes célèbres, comme Ray Charles ou Dr. John, auxquels il pose diverses questions (comment se sont-ils mis au piano ? Quelles étaient leurs influences ?), le tout entrecoupé de nombreuses images d’archives nous permettant d’admirer les talents de Duke Ellington, Tatum ou Fats Domino. Ce documentaire se révèle vite passionnant, même pour qui ne goûte pas au blues. On ne peut en effet qu’être séduit par cette musique faussement simple et d’une grande beauté. Qui plus est, ce film se pare d’une valeur historique certaine, car il s’agit de la dernière apparition filmée du Genius, Ray Charles. L’entendre de sa voix inimitable, converser avec Clint autour d’un piano constitue un très grand moment : la rencontre de deux géants. Leur amitié date du film Ca va cogner (Buddy Van Horn) pour lequel ils interprétaient ensemble la chanson Beers To You.
La musique, jazz et blues en particulier, occupe une place prépondérante dans son œuvre. Elle est au cœur de certains de ses films, tels que Un frisson dans la nuit, Honkytonk Man, dont on peut voir ici quelques images, et Bird bien sûr. Il compose fréquemment une partie, ou l’intégralité des bandes originales de ses longs métrages, surtout depuis Impitoyable, le plus bel exemple étant sa création dépouillée et mélancolique pour Million Dollar Baby. Enfin, il a produit plusieurs documentaires sur le jazz : The Last Of The Blue Devils de Bruce Ricker (1979, sorti en 1988) et Thelonious Monk : Straight No Chaser de Charlotte Zwerin (1989). La présence de Clint Eastwood au sein de cette collection n’est donc pas fortuite. Ce vingt-cinquième film du cinéaste aborde donc le rôle du piano dans le blues, instrument qui lui est donc très cher (d’ailleurs un des ses rêves n’aurait-il pas été d’en jouer comme Art Tatum ?). Piano Blues prend la forme d’une enquête menée par Clint qui croise la route de pianistes célèbres, comme Ray Charles ou Dr. John, auxquels il pose diverses questions (comment se sont-ils mis au piano ? Quelles étaient leurs influences ?), le tout entrecoupé de nombreuses images d’archives nous permettant d’admirer les talents de Duke Ellington, Tatum ou Fats Domino. Ce documentaire se révèle vite passionnant, même pour qui ne goûte pas au blues. On ne peut en effet qu’être séduit par cette musique faussement simple et d’une grande beauté. Qui plus est, ce film se pare d’une valeur historique certaine, car il s’agit de la dernière apparition filmée du Genius, Ray Charles. L’entendre de sa voix inimitable, converser avec Clint autour d’un piano constitue un très grand moment : la rencontre de deux géants. Leur amitié date du film Ca va cogner (Buddy Van Horn) pour lequel ils interprétaient ensemble la chanson Beers To You.
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