Je ne comprends pas. Non, vraiment je ne comprends pas comment un groupe tel que Earthless qui vient jouer à Paris, pour un concert gratuit qui plus est, ne parvient pas à rassembler plus d'une poignée de pékins ! Mais où étaient les Parisiens ? Où étaient les fans de rock psychédélique ? Ils ne savent pourtant ce qu'ils ont raté : une performance dantesque, plus forte qu'une boîte de Viagra pour vous donner la trique des grands jours !
Pour commencer, c'est Pontiak qui a mis le feu au poudre avec son rock seventies, sans doute moins jouissif que celui des Californiens, mais bien bandant quand même. Le power-trio n'a joué que trois titres aux longs développements propices aux fulgurances instrumentales. Mention spéciale aux deux extraits du petit dernier, le superbe Maker. Excellent.
Néanmoins, cette bonne surprise n'a pas empêché ensuite Earthless de tout atomiser. Là aussi, un trio qui envoie la purée. Fidèles à leur habitude, les bougres ont donné l'impression de n'interpréter qu'un seul titre une heure durant. Gigantesque et tant pis si la basse a semblé inexistante. D'ailleurs, tous les regards étaient braqués sur l'incroyable batteur, Mario Rubalcaba, digne héritier de Ian Paice et plus encore sur le guitariste Isaiah Mitchell dont le jeu transpire le feeling par toutes les notes et propulse cette musique vers des sommets. Bref, une orgie instrumentale (plus le court rappel avec "Chery Red") dont mes oreilles ne sont pas prêtes de se remettre !
Félicitations enfin pour le Glaz'art et son accueil estival franchement sympa.
Pour commencer, c'est Pontiak qui a mis le feu au poudre avec son rock seventies, sans doute moins jouissif que celui des Californiens, mais bien bandant quand même. Le power-trio n'a joué que trois titres aux longs développements propices aux fulgurances instrumentales. Mention spéciale aux deux extraits du petit dernier, le superbe Maker. Excellent.
Néanmoins, cette bonne surprise n'a pas empêché ensuite Earthless de tout atomiser. Là aussi, un trio qui envoie la purée. Fidèles à leur habitude, les bougres ont donné l'impression de n'interpréter qu'un seul titre une heure durant. Gigantesque et tant pis si la basse a semblé inexistante. D'ailleurs, tous les regards étaient braqués sur l'incroyable batteur, Mario Rubalcaba, digne héritier de Ian Paice et plus encore sur le guitariste Isaiah Mitchell dont le jeu transpire le feeling par toutes les notes et propulse cette musique vers des sommets. Bref, une orgie instrumentale (plus le court rappel avec "Chery Red") dont mes oreilles ne sont pas prêtes de se remettre !
Félicitations enfin pour le Glaz'art et son accueil estival franchement sympa.
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