Sur le papier, cette affiche réunissant Dornenreich, Agalloch et Mely, semblait tout à fait pertinente. Or, à l'arrivée, une question ? Quel rapport finalement entre le doom rock de Mely, chauffe-salle dont le set sera accueilli avec politesse par un public plutôt sage et posé (un peu bobo parisien quand même), le dark progressif des Américains d'Agalloch qui ont remporté haut la palme de l'intensité jouissive et le black metal singulier de Dornenreich ? Peu en réalité.
Les Allemands ont livré une performance surprenante car très loin de ce que leur dernier opus, l'acoustique In Lutz Geritz pouvait laisser présager. C'est au contraire à un concert très dur, très black auquel on a pu assister, le duo (rejoint par un batteur) passant en revue son passé et son futur avec un nouveau morceau.
Et si Dornenreich comptait dans la salle des fans fidèles, celle-ci s'est quand un peu vidée après le passage à la fois envoûtant et apocalyptique d'Agalloch qui en débutant sa prestation par deux titres (dont "Limbs") du monumental Ashes Against The Grain ne pouvait que séduire un public venu principalement pour lui. Musiciens virtuoses, ambiance recherchée (fumigènes, encens...) et une attitude plus rock indé, plus post rock que réellement metal en fait, comme en témoigne le final hallucinant où Anderson, Haughm et J. William W. terminent à genoux voire complétement couchés par terre.
Le monde se divise en deux catégories : ceux qui étaient là ce soir là pour cette première venue d'Agalloch en France... et les autres !
Les Allemands ont livré une performance surprenante car très loin de ce que leur dernier opus, l'acoustique In Lutz Geritz pouvait laisser présager. C'est au contraire à un concert très dur, très black auquel on a pu assister, le duo (rejoint par un batteur) passant en revue son passé et son futur avec un nouveau morceau.
Et si Dornenreich comptait dans la salle des fans fidèles, celle-ci s'est quand un peu vidée après le passage à la fois envoûtant et apocalyptique d'Agalloch qui en débutant sa prestation par deux titres (dont "Limbs") du monumental Ashes Against The Grain ne pouvait que séduire un public venu principalement pour lui. Musiciens virtuoses, ambiance recherchée (fumigènes, encens...) et une attitude plus rock indé, plus post rock que réellement metal en fait, comme en témoigne le final hallucinant où Anderson, Haughm et J. William W. terminent à genoux voire complétement couchés par terre.
Le monde se divise en deux catégories : ceux qui étaient là ce soir là pour cette première venue d'Agalloch en France... et les autres !
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