On aimerait bien ne dire que du bien de Dazhbog et sa quatrième offrande, Sunset : Legacy Of Solitude And Love. Parce que les projets nous venant du Mexique ne sont pas si fréquents. Parce que par moment, Samael, son unique membre accède à une forme de grâce épurée tout à fait charmante. Parce que les hommages à la nature sont les bienvenus. Parce qu’on aime bien l’ambient médiéval. Parce que.
Seulement voilà, noyé sous les nappes de claviers façon Bontempi, cet album joue tout du long à un numéro d’équilibriste dangereux entre beauté (« The Dawn Bloomed Within Your Eyes », « It was Just A Dream »…) et ridicule qui fait sourire (« Nostalgia Haze », « Solar Essence », dont on aurait imaginé avoir plus d’ampleur et de puissance). Tout est joli mais plat et sans grandeur. Instrumental, cet essai s’écoute sans déplaisir, sans passion non plus. Malgré les arpèges feutrés ondulant pendant « Boreal Firmaments », et les quelques touches plus sombres de « The Sunset Bloomed Within Your Sights » l’ennui nous guète vite. Là où le bat blesse est que Dazhbog peine à envelopper sa musique d’une réelle majesté et de la poésie qui aurait été nécessaire pour la rendre envoûtante et belle ou romantique. Ce qu’elle n’est malheureusement pas. Dommage car le projet demeure sympathique et le label qui l’accueille, Naturmacht, tout autant. Les amateurs du genre me contrediront certainement. 2/5 (2010) | Facebook
Seulement voilà, noyé sous les nappes de claviers façon Bontempi, cet album joue tout du long à un numéro d’équilibriste dangereux entre beauté (« The Dawn Bloomed Within Your Eyes », « It was Just A Dream »…) et ridicule qui fait sourire (« Nostalgia Haze », « Solar Essence », dont on aurait imaginé avoir plus d’ampleur et de puissance). Tout est joli mais plat et sans grandeur. Instrumental, cet essai s’écoute sans déplaisir, sans passion non plus. Malgré les arpèges feutrés ondulant pendant « Boreal Firmaments », et les quelques touches plus sombres de « The Sunset Bloomed Within Your Sights » l’ennui nous guète vite. Là où le bat blesse est que Dazhbog peine à envelopper sa musique d’une réelle majesté et de la poésie qui aurait été nécessaire pour la rendre envoûtante et belle ou romantique. Ce qu’elle n’est malheureusement pas. Dommage car le projet demeure sympathique et le label qui l’accueille, Naturmacht, tout autant. Les amateurs du genre me contrediront certainement. 2/5 (2010) | Facebook
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