Sur un mode mineur, A Name For Evil revisite le thème de la maison hantée. Malgré ses airs tenaces de produit télévisuel, ce film réussit (un peu) à distiller une atmosphère finalement plus trouble qu'effrayante.
Si, de la musique de Dominic Frontiere (Pendez-les haut et court) et de quelques silhouettes fantomatiques et ombres envahissantes naissent certes une vague inquiétude, l'intérêt du film (et sa seule curiosité) réside en fait moins dans sa capacité à semer la peur qu'à suinter un érotisme étonnant dans ce type de production. Beaucoup de nudité aussi féminine que masculine (avec plein de kikis dedans dont celui de Robert Culp !) et le jeu de la trop rare Samantha Eggar qui exsude de désir et de plaisir, habitent cette pellicule qui ne fut pas distribuée pour rien par Penthouse ! (vu le 26.02.2020)
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