Co-production franco-italienne, Les 3 centurions ne compte pas parmi les titans du péplum de la péninsule. En 1964, le genre est déjà en déclin et ne tardera plus à être concurrencé par le western dans les salles de quartier.
C'est le recours au fantastique voire à la SF qui sauvent alors nombre d'aventures en jupettes. Dans ce registre, le film de Roberto Mauri, dont on préfère (un peu) Le retour d'Ivanhoé (1972) avec Mark Damon, se montre bien timide. Seules pourtant les séquences caverneuses où des silhouettes encapuchonnées se livrent à des sacrifices, l'empêchent de sombrer totalement dans l'ennui et retient l'attention. Peu de moyens, de pales héros trop goguenards pour qu'on les prennent au sérieux et une réalisation inodore freinent ce divertissement très mineur que survole néanmoins la beauté de Lisa Gastoni qu'elle pimente d'une pointe de suavité. (vu le 13.07.2019)
C'est le recours au fantastique voire à la SF qui sauvent alors nombre d'aventures en jupettes. Dans ce registre, le film de Roberto Mauri, dont on préfère (un peu) Le retour d'Ivanhoé (1972) avec Mark Damon, se montre bien timide. Seules pourtant les séquences caverneuses où des silhouettes encapuchonnées se livrent à des sacrifices, l'empêchent de sombrer totalement dans l'ennui et retient l'attention. Peu de moyens, de pales héros trop goguenards pour qu'on les prennent au sérieux et une réalisation inodore freinent ce divertissement très mineur que survole néanmoins la beauté de Lisa Gastoni qu'elle pimente d'une pointe de suavité. (vu le 13.07.2019)
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