Jeffrey Hunter fait partie de ces comédiens qui, de part leur mollesse et sauf lorsqu'ils sont dirigés par des maîtres (John Ford et Nicholas Ray au cas particulier), rendent ennuyeux les films dans lesquels ils jouent. L'aigle de Guam en constitue un bon exemple. C'est long, c'est terne et se noie dans les bons sentiments malgré de louables prétentions humanistes et un refus de sombrer dans le manichéisme primaire, peignant à sa manière, modeste, des Japonais caricaturaux mais sympathiques. Bref, nous sommes loin de Dieu seul le sait de John Huston ! | IMDb
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