Marc Dorcel poursuit sa série des femmes mûres que l'âge n'a pas rendu moins avides de sexe, bien au contraire. Encore une fois sous la houlette de Liselle Bailey, Ma femme n'a pas de culotte repose sur l'appétit insatiable de Mariska, qui est presque de toutes les scènes. Le fait de privilégier les plans larges plutôt que les gros plans (toutefois nombreux) place le spectateur en position de voyeur.
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