Qu'importe qu'il prennent des libertés avec le mythe arthurien et confondent VIe et XIIIe siècles, Les chevaliers de la Table ronde est à prendre pour ce qu'il est, un fastueux livre d'images, comme Hollywood les affectionnait alors et dont on ne dira jamais assez le pouvoir d'évocation qu'il a pu exercer - et continue à exercer - dans notre inconscient de cinéphile.
Pour nous, le Moyen-Âge aura toujours les teintes chatoyantes du Technicolor, les reines, la beauté des Ava Gardner ou Elizabeth Taylor et les chevaliers, le mâle visage de Robert Taylor, tour à tour Ivanhoé, Lancelot ou Quentin Durward sous la houlette d'un Richard Thorpe alors spécialiste du films d'aventures dont le palmarès laisse rêveur. Plus fidèle et sombre, le Excalibur de John Boorman ne peut rivaliser avec le charme de ces bandes enchantées... C'est ce qu'on appelle la magie du cinéma.
Pour nous, le Moyen-Âge aura toujours les teintes chatoyantes du Technicolor, les reines, la beauté des Ava Gardner ou Elizabeth Taylor et les chevaliers, le mâle visage de Robert Taylor, tour à tour Ivanhoé, Lancelot ou Quentin Durward sous la houlette d'un Richard Thorpe alors spécialiste du films d'aventures dont le palmarès laisse rêveur. Plus fidèle et sombre, le Excalibur de John Boorman ne peut rivaliser avec le charme de ces bandes enchantées... C'est ce qu'on appelle la magie du cinéma.
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