Il faudrait que je vous parle de cette soirée réunissant dans le cadre cossu de la Cigale, le maître de la musique électronique et la déesse Lisa Gerrard. J'aimerais pouvoir le faire.
Seulement voilà, les mots me manquent pour la décrire. Envoûtant, magique, ambiance religieuse, voire monacale. Tout cela est vrai mais peine à exprimer ce que public présent a ressenti deux heures durant.
Sachez tout de même que nous avons eu droit à quatre observations. La première, d'une demie heure, a vu l'Allemand draper la salle d'un voile synthétique hypnotique. Après une courte pause, le musicien revient comme micro quelques minutes auparavant avec l'ex Dead Can Dance qui reçoit une ovation incroyable de la part d'une assistance dont une partie s'est sans doute avant tout déplacée pour elle. Pendant près d'une heure, sa voie si singulière qui n'appartient qu'à elle va se marier avec les effluves électronique de Klaus pour une combinaison unique et si complémentaire. Tragédienne hiératique, cette grande dame emporte tout le public avec elle.
Plus courts, les deux interprétations suivantes permettent à Schulze, pour la première d'entre-elles, de tisser une plainte tripante comme il en a le secret tandis que la seconde marque le retour de Lisa le temps d'une respiration superbe. Divin.
Le sentiment d'avoir vécu un moment précieux, rare : voilà ce que je retiendrai de ce concert...
Seulement voilà, les mots me manquent pour la décrire. Envoûtant, magique, ambiance religieuse, voire monacale. Tout cela est vrai mais peine à exprimer ce que public présent a ressenti deux heures durant.
Sachez tout de même que nous avons eu droit à quatre observations. La première, d'une demie heure, a vu l'Allemand draper la salle d'un voile synthétique hypnotique. Après une courte pause, le musicien revient comme micro quelques minutes auparavant avec l'ex Dead Can Dance qui reçoit une ovation incroyable de la part d'une assistance dont une partie s'est sans doute avant tout déplacée pour elle. Pendant près d'une heure, sa voie si singulière qui n'appartient qu'à elle va se marier avec les effluves électronique de Klaus pour une combinaison unique et si complémentaire. Tragédienne hiératique, cette grande dame emporte tout le public avec elle.
Plus courts, les deux interprétations suivantes permettent à Schulze, pour la première d'entre-elles, de tisser une plainte tripante comme il en a le secret tandis que la seconde marque le retour de Lisa le temps d'une respiration superbe. Divin.
Le sentiment d'avoir vécu un moment précieux, rare : voilà ce que je retiendrai de ce concert...
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