Hans D. Bornhauser fait partie de ces artisans qui, dans la RFA de la première moitié des années 70 alors bercée par la libération sexuelle, a oeuvré dans un érotisme pelliculé à la fois crado et rigolard.
Des huit objets qu'il a troussés entre 1972 et 1977, Der Bumsladen-Boß demeure un des plus représentatifs de son talent (?), mineur mais sympathique. Hésitant entre comédie graveleuse et drame, épaissi d'une louche de polar dans sa seconde partie, son film prend pour héroïne une jeune fille qui, croyant être embauchée dans une école hôtelière, se retrouve en réalité prisonnière d'un club qui prostitue les filles qu'il recrute. Pimenté de nombreuses séquences topless qui remplissent l'écran de chattes velues mais n'apportent strictement rien au récit sinon en combler les trous, Der Bumsladen-Boß dévide un scénario sans queue ni tête, machin foutraque et néanmoins plaisant à suivre grâce à son ton libertaire et son rythme plutôt accorte. A la vue de tous ces corps qui exhibent généreusement leur nudité 100% naturelle presque à chaque plan, on ne peut s'empêcher de penser que Bornhauser ne voit dans son sujet que le simple prétexte à filmer des filles à poils. Au milieu d'un casting féminin peu farouche, la gironde Dorothea Rau ou la ravissante - et trop rare - Natasha Michnowa, aperçue la même année dans Les vierges des messes noires, l'oeuvre culte de Josh W. Sarno, couvrent son étal de gourmands nichons. (vu le 05.01.2020)
Des huit objets qu'il a troussés entre 1972 et 1977, Der Bumsladen-Boß demeure un des plus représentatifs de son talent (?), mineur mais sympathique. Hésitant entre comédie graveleuse et drame, épaissi d'une louche de polar dans sa seconde partie, son film prend pour héroïne une jeune fille qui, croyant être embauchée dans une école hôtelière, se retrouve en réalité prisonnière d'un club qui prostitue les filles qu'il recrute. Pimenté de nombreuses séquences topless qui remplissent l'écran de chattes velues mais n'apportent strictement rien au récit sinon en combler les trous, Der Bumsladen-Boß dévide un scénario sans queue ni tête, machin foutraque et néanmoins plaisant à suivre grâce à son ton libertaire et son rythme plutôt accorte. A la vue de tous ces corps qui exhibent généreusement leur nudité 100% naturelle presque à chaque plan, on ne peut s'empêcher de penser que Bornhauser ne voit dans son sujet que le simple prétexte à filmer des filles à poils. Au milieu d'un casting féminin peu farouche, la gironde Dorothea Rau ou la ravissante - et trop rare - Natasha Michnowa, aperçue la même année dans Les vierges des messes noires, l'oeuvre culte de Josh W. Sarno, couvrent son étal de gourmands nichons. (vu le 05.01.2020)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire