Pour lancer sa collection "Rednecks", Artus a eu la bonne idée de sortir conjointement Les marais de la haine et sa suite La vengeance de la femme au serpent. Presque une quinzaine d'années séparent les deux films. En fait longtemps oublié, Gator Bait a été redécouvert durant les années 80 grâce à la VHS, poussant les producteurs à réclamer au couple Sebastion cette tardive séquelle. Celui-ci ne se casse pas trop la tête et réchauffe la même recette. Mais alors que l'oeuvre d'origine possédait du rythme et une sensualité moite, due en grande partie à la beauté un peu ingénue de Claudia Jennings, son successeur ne distille ni l'un ni l'autre, pataugeant dans une bauge paresseuse.
Jan Sebastian, la propre belle-fille de Berverly et Ferd, a certes de gros seins mais n'a pas le même charme que sa devancière. Surtout, Gator Bait II souffre d'un scénario quasi inexistant, grevé par une première moitié où, entre apprentissage de la survie dans les Bayou et séances de baise, il ne se passe rien. Il faut attendre le viol collectif subi par Angélique, interminable et cradingue, pour que le récit s'emballe enfin, empruntant alors le chemin du rape & revenge. Mais platement filmée avec du flou pas artistique, cette dernière partie ne parvient jamais à drainer la moindre tension. Du bis très mineur quoique sympa à mater quand même. (vu le 20/01/2019) ⍖⍖
Jan Sebastian, la propre belle-fille de Berverly et Ferd, a certes de gros seins mais n'a pas le même charme que sa devancière. Surtout, Gator Bait II souffre d'un scénario quasi inexistant, grevé par une première moitié où, entre apprentissage de la survie dans les Bayou et séances de baise, il ne se passe rien. Il faut attendre le viol collectif subi par Angélique, interminable et cradingue, pour que le récit s'emballe enfin, empruntant alors le chemin du rape & revenge. Mais platement filmée avec du flou pas artistique, cette dernière partie ne parvient jamais à drainer la moindre tension. Du bis très mineur quoique sympa à mater quand même. (vu le 20/01/2019) ⍖⍖
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