White Lion, comme beaucoup d’autres groupes de cette époque, fait partie de ces étoiles filantes qui ont brillé au firmament du metal le temps d’une poignée d’albums, avant de disparaître à jamais. White Lion, c’est aussi toute une époque, celle de la grandeur du hard US ; celle où chaque groupe s’articulait autour d’un chanteur charismatique (et permanenté si possible) et d’un guitar hero ; celle enfin où les albums savait déchirer sans oublier de décocher de magnifiques ballades. White Lion, c’est un peu tout çà. Après un premier opus peu remarqué, les Américains décrochent la timbale avec Pride en 1987. Produit par Michael Wagener, Big Game lui succède et, sans atteindre sa réussite (artistique et commerciale), il demeure toujours une excellente pépite.
Le disque débute avec trois titres bien hard, tout en restant mélodiques, pourvus de refrains imparables et illuminés par de brillants soli du virtuose du manche, Vito Bratta (qui a dû être téléporté depuis sur une lointaine planète car il a complètement disparu de la circulation), comme sur “ Dirty Woman ”. “ Broken Home ” est un premier slow : banal, mais le chanteur à longue crinière y roucoule avec conviction. Puis ça repart comme en 14 avec l’énergique “ Baby Be Mine ” et ses paroles qui ne volent sans doute pas bien haut. En fait, nous pourrions continuer cette énumération jusqu’à la dernière chanson ; mais cela serait un brin fastidieux. Mais sachez que toutes sont des tubes en puissance, surtout les dernières d’ailleurs, le cœur du disque étant un peu plus faible tout de même : “ Let’s Get Crazy ” et sa démonstration de Bratta à la six cordes, l’imparable “ Don’t Say It’s Over ”, “ If My Mind Is Evil ”, sur lequel brille à nouveau de mille feux le guitariste, et bien sûr la fabuleuse ballade “ Cry For Freedom ”. Mention spéciale à la puissante reprise de Golden Hearing, “ Radar Love ”, avec sa section rythmique du feu de Dieu ; laquelle constitue sans l’ombre d’un doute le sommet de l’album. Finalement, nous avons plus ou moins énuméré tous les titres de Big Game, mais que vous voulez, ce sont effectivement tous des tubes ou presque. A posséder d’urgence ! (2006)
Le disque débute avec trois titres bien hard, tout en restant mélodiques, pourvus de refrains imparables et illuminés par de brillants soli du virtuose du manche, Vito Bratta (qui a dû être téléporté depuis sur une lointaine planète car il a complètement disparu de la circulation), comme sur “ Dirty Woman ”. “ Broken Home ” est un premier slow : banal, mais le chanteur à longue crinière y roucoule avec conviction. Puis ça repart comme en 14 avec l’énergique “ Baby Be Mine ” et ses paroles qui ne volent sans doute pas bien haut. En fait, nous pourrions continuer cette énumération jusqu’à la dernière chanson ; mais cela serait un brin fastidieux. Mais sachez que toutes sont des tubes en puissance, surtout les dernières d’ailleurs, le cœur du disque étant un peu plus faible tout de même : “ Let’s Get Crazy ” et sa démonstration de Bratta à la six cordes, l’imparable “ Don’t Say It’s Over ”, “ If My Mind Is Evil ”, sur lequel brille à nouveau de mille feux le guitariste, et bien sûr la fabuleuse ballade “ Cry For Freedom ”. Mention spéciale à la puissante reprise de Golden Hearing, “ Radar Love ”, avec sa section rythmique du feu de Dieu ; laquelle constitue sans l’ombre d’un doute le sommet de l’album. Finalement, nous avons plus ou moins énuméré tous les titres de Big Game, mais que vous voulez, ce sont effectivement tous des tubes ou presque. A posséder d’urgence ! (2006)
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