Je me souviens que Orloff et l'homme invisble était vendu en kiosque avec La chute de la maison Usher dans un pack Franco / Eurociné. Sauf que, malgré le nom du bon professeur et la présence de l'impavide Howard Vernon, point de petit Jésus ici, la chose ayant été réalisée (?) par Pierre Chevalier (Pigalle carrefour des illusions). Exploité également sous le titre un peu porno La vie érotique de l'homme invisible, le film se veut pourtant radin en cul en dépit d'une interminable (comme le reste) scène de viol où une comédienne (??) frétille dans tous les sens pour faire croire au coït avec l'homme invisible. Mentionnons aussi une propension à dévoiler des pubis bien touffus mais à part ça, rien de très excitant.
Pourtant ce Orloff est un mystère. Alors qu'il est mal fichu avec un montage hasardeux et une absence totale de travail sur la lumière, rempli de zoom foireux, de plans sans intérêt et de scènes étirées au maximum (comme ce fiacre qui met une plombe pour atteindre le château) et qu'il ne raconte en définitive aucune histoire, il s'en dégage un charme, celui du bis pur jus, qui doit beaucoup aux décors sinistres fournis par une authentique bâtisse. Un vrai plaisir coupable ! (Vu le 28/02/2018 / Source : DVD)
Pourtant ce Orloff est un mystère. Alors qu'il est mal fichu avec un montage hasardeux et une absence totale de travail sur la lumière, rempli de zoom foireux, de plans sans intérêt et de scènes étirées au maximum (comme ce fiacre qui met une plombe pour atteindre le château) et qu'il ne raconte en définitive aucune histoire, il s'en dégage un charme, celui du bis pur jus, qui doit beaucoup aux décors sinistres fournis par une authentique bâtisse. Un vrai plaisir coupable ! (Vu le 28/02/2018 / Source : DVD)
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