Certes production mineure au sein de la pléthorique filmographie de son auteur, Agent britannique n'en reste pas moins un (petit) film intéressant et ce, pour au moins deux raisons.
D'une part parce qu'il aborde un sujet rarement évoqué dans le cinéma américain, celui de la révolution bolchevique, qu'il brosse avec un certain réalisme même si les Soviétiques l'ont jugé ambigu. D'autre part car Curtiz fait déjà montre d'une maîtrise technique éclatante, laquelle surgit notamment au détour de transitions habilement élaborées. Traité sous le prisme d'une histoire d'amour qui échappe de peu au mélodrame, cette page d'histoire offre un spectacle agréable (re)découvert grâce à l'inestimable Patrick Brion et son cinéma de minuit. (vu le 01.08.2017)
D'une part parce qu'il aborde un sujet rarement évoqué dans le cinéma américain, celui de la révolution bolchevique, qu'il brosse avec un certain réalisme même si les Soviétiques l'ont jugé ambigu. D'autre part car Curtiz fait déjà montre d'une maîtrise technique éclatante, laquelle surgit notamment au détour de transitions habilement élaborées. Traité sous le prisme d'une histoire d'amour qui échappe de peu au mélodrame, cette page d'histoire offre un spectacle agréable (re)découvert grâce à l'inestimable Patrick Brion et son cinéma de minuit. (vu le 01.08.2017)
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