Jo Ann Harris, qui faisait tourner la tête de Clint Eastwood dans Les proies de Don Siegel (1971), dans un rape & revenge, il y avait de quoi affoler l'érectomètre ! Las, Act Of Vengeance, également connu sous le titre Rape Squad et qu'il ne faut confondre ni avec les films du même nom de Fred Zinnemann (1948) et John MacKenzie (1986), ne tient donc pas toutes ses alléchantes promesses.
Loin de la brutalité aussi glaciale que mortifère de Crime à froid (1974) ou de l'érotisme malsain de La dernière maison sur la plage (1978), il s'agit plus, American International Pictures oblige, d'un film d'action façon 5 femmes à abattre, le talent de Jonathan Demme en moins, mais qui annonce déjà la vague des slashers avec les viols à la place des meurtres, auquel le masque de hockey derrière lequel le violeur cache son visage, ne peut que fortement évoquer. Reste un solide thriller avec un peu de sexe dedans mais on en attendait plus, plus glauque surtout.
Loin de la brutalité aussi glaciale que mortifère de Crime à froid (1974) ou de l'érotisme malsain de La dernière maison sur la plage (1978), il s'agit plus, American International Pictures oblige, d'un film d'action façon 5 femmes à abattre, le talent de Jonathan Demme en moins, mais qui annonce déjà la vague des slashers avec les viols à la place des meurtres, auquel le masque de hockey derrière lequel le violeur cache son visage, ne peut que fortement évoquer. Reste un solide thriller avec un peu de sexe dedans mais on en attendait plus, plus glauque surtout.
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